du 25 avril au 6 juin 2010
AUTOUR DE ROBERT HAINARD
Exposition collective
Il y a 10 ans que disparaissait cet artiste aux dons multiples, qui a consacré sa vie à la défense et à l'illustration de la nature sauvage et libre.
"Le programme de ma vie est clair: manifester la splendeur de la nature, en rendre le besoin plus conscient, car rien n'est plus convaincant que l'image, et rien ne résume mieux les désirs complexes des hommes que la beauté.”
Le Grand-Cachot réuni un choix de ses œuvres, ainsi que celles de quatre autres peintres animaliers : Jérôme Gremaud, Antoine Richard, Jacques Rime et Laurent Willenegger.
du 20 juin au 1 août 2010
ZALINE & PAGNI, L’art est révolte
Compères, complices, Riccardo Pagni et Pierre Zaline partagent une même quête. Ils accumulent pour se rassurer, détruisent dans l’espoir d’arrêter le temps puis réinventent un monde profondément humain.
L’art y est total, leur imaginaire oscille entre bouffonnerie et gravité, colère et tendresse, contemplation et révolte.
Épicuriens, avides de tout, acharnés, travailleurs, fébriles et maladroits, ce sont de véritables envahisseurs sentimentaux.
du 15 août au 26 septembre 2010
GUY OBERSON, Élévation(s)
"Guy Oberson insuffle à ses représentations traditionnelles une puissance et une modernité qui les transfigure"
F.-H Brou, Scènes Magazine
L’exposition dans le vaste espace de la ferme permet de montrer un choix d’œuvres parlant de l’homme et de la nature.
Face à l’angoisse d’un monde qui semble le dépasser, l’homme recherche différentes formes de spiritualité.
Ici, l’art et la magie du lieu sont utilisés comme quelques "tentatives d’élévation(s)". La scénographie de l’exposition est réalisée en collaboration avec le metteur en scène Christian Egger.
du 10 octobre au 24 octobre 2010
JEAN-PIERRE GYGER, Rétrospective
Plus qu'une simple exposition, il s'agit réellement de la présentation chronologique des oeuvres choisies d'un peintre qui, pudiquement, refusa toute sa vie de se dévoiler.
Une opportunité unique mais sans concession de porter un regard différent sur plus de 60 ans d'une carrière trop discrète riche de plus de 800 réalisations.
Dans sa trajectoire d'un demi-siècle de peinture, Jean-Pierre Gyger a volontairement vécu de longues périodes d'isolement, refusant de montrer ses travaux. Trop sensible, craintif peut-être, il aura fallu le succès de l'exposition au Grand-Cachot-de-Vent en 1975 pour qu'il accepte de montrer plus régulièrement son œuvre, permettant au public d'approcher sa touche picturale personnelle, délicate et épurée à l'extrême.
Disparu en 2007, Jean-Pierre Gyger laisse une œuvre abondante que la Fondation est heureuse d'accueillir à nouveau.